Vive le bockelisme ?

Publié le par Eric Citoyen Mulhouse

souris

Bonjour à toutes et tous,

Pas un jour à Mulhouse sans une Action de communication et de marketing politique de notre équipe Bockelienne.

Hier, c'était l'inauguration des vélo-Libre-PUB, la veille l'annonce de la création du parti politique de notre baron Jean-marie sarkobockel "il va finir en groupuscule et dans le crépuscule" et ainsi de suite...

Pas facile de suivre le troupeau, ..., donc j'ai du retard "sorry mes ami(e)) .

Avant de reprendre par le détail les pérégrinations de nos élus de droites Mulhousiens, je vous propose un autre article de libé "clic ici" avec notre Jean-Marie dans ses manoéuvres politiciennes.

Bonne lecture.

Bises à toutes et tous.

Eric Citoyen - résistant Mulhousien

PS : "CASSE TA TV" c'est ta seule chance

Souvenir, souvenir...

!


Vive le bockelisme ?

Le débat sur le blairisme, qui opposait jeudi l’économiste Thomas Piketty au secrétaire d'Etat Jean-Marie Bockel, a viré à la discussion autour de son choix de l’ouverture.

Par Antoine DUVAUCHELLE (ETUDIANT A L'ECOLE DE JOURNALISME DE GRENOBLE)

LIBERATION.FR : vendredi 14 septembre 2007

Quasi one-man show à l’occasion du débat entre Jean-Marie Bockel et Thomas Piketty, jeudi après-midi. L’intitulé du duel «Vive le blairisme ?» - le point d’interrogation était oublié sur l’écran de présentation – a été largement bockelisé.

Le débat dévie rapidement. La première question s’adresse au maire de Mulhouse et secrétaire d’Etat à la Coopération et à la Francophonie. «Pourquoi êtes-vous entré au gouvernement ?» Jean-Marie Bockel botte en touche.

Il raccroche très vite à sa gestion de Mulhouse, et avance son approche blairiste de la question sécuritaire. Selon lui, le blairisme est une «voie intermédiaire entre une démarche sécuritaire assumée, et des expérimentations dans le domaine de la prévention». Autres grands axes de sa vision du «modèle Blair», «libérer l’économie, introduire de la souplesse pour dégager des moyens, et soutenir les services publics par des politiques fortes».

Mais déjà on change de sujet. Les 35 heures, le départ de Jean-Marie Bockel du Parti socialiste, son arrivée dans le gouvernement… Le secrétaire d’Etat se laisse prendre en jeu. Il amuse la salle, quand il se dit «masochiste» d’avoir accepté l’invitation de Libération. Il apostrophe directement le public. Les journalistes de France Culture, présents pour l’enregistrement de l’émission, tentent de rendre la parole à l’économiste.

Mais Bockel se défend : «Je n’ai pas l’impression que nous ayons été hors-sujet pour l’instant. Ni l’un ni l’autre. Mais la salle n’a pas l’air d’accord…» Grondements dans la salle. Apparemment non.

Au bout d’une heure, l’enregistrement pour la radio est terminé. La parole est au public. Plusieurs questions tentent de recentrer le débat sur le sujet d’origine : le blairisme. Coût des études supérieures en Grande-Bretagne, système de santé à deux vitesses, impossibilité d’une «croissance infinie dans un monde aux ressources limitées»… Les interrogations et les doutes sont nombreux dans l’assistance. Une dernière question résume les autres : «Faut-il importer le modèle blairiste dans l’Hexagone ?» Mais celle-ci restera sans réponse.

Publié dans Sarko-Blairisme

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